“Elles constituent un autre virus qui n’est pas mort et il faut les empêcher d’agir parce que les mots tuent”, s’exclame le député fédéral.
Si la pandémie est au center de toutes les préoccupations, “il faut toutefois rester vigilants face à un autre virus qui n’est pas mort, celui de l’incitation à la haine et de la menace terroriste qu’il peut induire”, s’exclame Denis Ducarme qui nous présente sa nouvelle proposition de loi visant à permettre aux autorités d’interdire et de dissoudre les organizations dont le but et les actes sont d’inciter à la haine, à la discrimination et à la violence.